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Chuck
Norris est petit mais rapide dans ses mouvements, il sait esquiver les
coups les plus rapides d’adversaires bien plus grands que lui et plus
nombreux. On prétend que l’écartement maximal de ses jambes est
supérieur à celui d’un compas d’écolier. Lorsqu’il se bat, Chuck ne
connaît pas la peur ni la haine, car il sait que nos émotions peuvent
nous conduire au désastre si elles guident nos réactions ! Cette
maîtrise de soi et cette sagesse, Chuck les doit à la fois à ses
origines indienne et à son éducation en arts martiaux orientaux.
Vu par le maître :
Bruce
Lee dont il fut le disciple pendant longtemps a dit un jour : « lorsque
je combats contre Chuck, je dois oublier tout ce que j’ai appris et je
me bats contre les éléments avant de me battre contre un être vivant,
Chuck est plus rapide que le Vent, plus dur que la Terre, plus
bouillant que le Feu et plus omniprésent que l’Eau. Pourtant son cœur
est plus tendre que le cœur d’un Litchi pelé. »
Coups aériens :
Lorsqu’il
réalise un coup aérien, le temps durant lequel ses pieds quittent le
sol est tel que de nombreux spécialistes en arts martiaux ont analysé
ses mouvements et pensent que Chuck possède probablement un don caché
de lévitation, ce qui justifie sa capacité à frapper au visage des
adversaires plus grands que lui.
Adversaires multiples :
Lorsqu’il
se bat contre plusieurs adversaires simultanément, Chuck ne laisse pas
de place au hasard. S’il ne s’aide pas de son environnement tel Jackie
Chan (pour qui même un caddie dans un supermarché représente une arme)
il sait tout de même quel adversaire il doit frapper, à quel moment et
à quel endroit. Ainsi pendant qu’un des ennemis se remet péniblement
d’un low-kick rotatif suivi d’un quick elbow au visage, il peut
sereinement assener un Ura-mawashi Geri au « candidat suivant ». C’est
cette justesse et cette précision qui peuvent laisser croire
injustement que tout est simple pour lui et qu’il « se balade ».
Maniement du .357:
Véritable Luky Luke des temps modernes, Cordel s'exerce tous les samedis matin
avec Trivette au maniement de la gachette. Le phases d'entrainement se
déroulent dans un décor en papier mâcher, les cibles en carton
réprésentent de dangereux criminels surgissent à une fréquence 300Hz.
Généralement notre valeureux Cordel se jette littérallement à terre
tout en enchainant les cibles à la Max Payne ce qui ravira nos amis
policiers qui regardent la série. Les chasseurs quand
à eux s'exalteront façe à la collection personnelle de Cordel, celle
qui siège royalement derrière son bureau de Texas Ranger. Les
connaisseur remarqueront que cette vitrine arbore un fond vert qui met
en valeur le côté naturel de ces armes de prestige. Les détracteurs
quand à eux se contenteront de dire qu'elle est en carton car ces armes
sont désormais introuvables au Texas.
Combats en situation délicate :
Quand
il entre en action, comme tout ranger qui intervient pour « botter le
cul aux méchants », Chuck ne se retrouve pas dans un simple Dojo sur le
tatami, et doit souvent se heurter aux aspérités environnantes. Il doit
parfois se battre en situation périlleuse, sur le toit d’un camion, sur
une grue, ou encore dans la fontaine d’un grand centre commercial,
comme dans « Walker et les mustangs en danger ». Dans cet épisode,
Walker doit intervenir pour défendre un homme qui se retrouve seul face
à 4 farouches cowboys armés de Colt et de couteaux. Ce qui saute
d’abord aux yeux, c’est la perspicacité avec laquelle Walker décrypte
la scène et sait immédiatement qui sont les méchants. Ensuite, on voit
avec quelle aisance il saute dans la fontaine, neutralise deux des
agresseurs en high kick latéral et Maé Géri facial pour ensuite
s’abattre sur un troisième qu’il projette littéralement dans le bassin
inférieur. Il s’en prend ensuite au quatrième larron pendant que les
autres retrouvent leurs esprits. Toute la difficulté du combat tient au
fait que l’eau empêche tout mouvement bas des jambes, ce qui ne pose
pas réellement de problème pour Chuck, car sa vivacité et sa souplesse
lui permettent les coups de pied les plus élevés.
Chuck vu par un grand maître européen JC Van Damme:
Il
est de notoriété publique que le plus célèbre belge du cinéma était
prédestiné à une carrière dans l’écriture philosophique, avant de
s’orienter vers les arts du grand écran. « Quand j’étais un enfant, je
lisais Sartre, Aristote et Peyo. Pour moi le feeling que tu feel quand
les pages se dérobent sous tes yeux c’est le même feeling que quand le
coca que tu drink d’une traite tombe dans ton stomach : ça te vivify
l’œsophage et te wake up les neurones. Je ne regardais pas la télé,
petit écran et grand écran, j’étais not interested at all ! Et il ya eu
ce fameux special day, on m’a collé de force devant le screen pour voir
« La fureur du dragon ». J’ai trouvé beau les combats de Bruce Lee mais
lors du combat final, lorsque Bruce affronte le fougueux Chuck, j’ai
tout de suite compris ce que serait ma vie ! Il me rappelait une
panthère qui chasse son gibier dans la jungle » a déclaré Jean Claude
Van Damme
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